La star de vos soirées d’hiver: Multiplug System

La star de vos soirées d’hiver: Multiplug System

L’hiver approche et avec lui, la saison des raclettes et des repas chaleureux en famille ou entre amis. Oui, mais voilà il en faut pour tous les goûts lorsqu’on reçoit les invités à dîner. Pourquoi ne pas offrir à vos convives la possibilité de manger ce qui leur plaît ? Raclettes conviviales et gourmandes, crêpes sucrées à volonté ou encore plancha façon pierre à cuire. Plus besoin de choisir grâce au Multiplug System. Voici nos astuces pour passer un moment chaleureux et convivial autour de la star de vos soirées d’hiver: la raclette.

 

La raclette ? La privilégiée des adultes

 

La raclette Multiplug, c’est la facilité assurée. Il vous suffit de les brancher entre elles pour que chaque invité puisse avoir son poêlon en face de lui. Plus besoin de bousculer ses voisins de table pour accéder à son précieux fromage fondu.

 

Le fromage

Pour une raclette réussie, on peut miser sur un large choix de fromage. Vous pouvez les acheter prédécoupé en grande surface ou bien chez le fromager pour une composition 100 % personnelle, originale et gourmande. Voici quelques incontournables:

 

– Raclette fumée

– Raclette aux herbes

– Raclette à la moutarde

– Raclette au bleu de Gex

– Et pourquoi ne pas tenter des raclettes inédites avec du morbier, de la tomme de Savoie ou encore du Brie

 

 

Les accompagnements

Grâce au revêtement de la Multiplug, maintenez vos pommes de terre au chaud en attendant de passer à table. Vous pouvez également faire griller des champignons, des poivrons, des courgettes ou encore des branches de brocolis. N’hésitez pas à accompagner votre raclette d’une fondue de poireaux, de viande de grison ou encore de saumon fumé.

 

La boisson

Le fromage se marie très bien avec le vin*. Mais ce n’est pas toujours évident de choisir le bon accord. On mise sur un vin blanc plutôt sec comme l’Apremont de Savoie ou alors un Brouilly rouge. Pour en savoir plus n’hésitez pas à (re)découvrir notre article accord mets et vin.

 

L’astuce gourmande

Retrouvez toutes nos recettes inédites et originales pour varier les saveurs de vos raclettes party, de la raclette salée à la raclette sucrée ! Qui a dit que la raclette ne pouvait pas se décliner en dessert ?

Plancha et raclette, le duo de choc !

 

Parce que le fromage fondu n’est pas la seule star d’une raclette party, n’hésitez pas à raccorder la plancha Mulitplug à votre raclette. Grâce à la plancha, vous bénéficiez d’une zone de cuisson plus grande pour saisir vos accompagnements en mode pierre à cuire. Même les moins friands de fromage fondu trouvent ainsi leur bonheur !

 

Les accompagnements

 

Avec la plancha Multiplug, faites griller vos oignons, votre saumon, vos champignons ou encore votre lard en toute simplicité. Le duo raclette et plancha Multiplug, c’est deux fois plus de plaisir et de convivialité !

 

La boisson

 

Le vin accompagne très bien le fromage et la charcuterie, mais savez-vous que la bière aussi *? Blonde, ambrée ou encore brune, elles seront parfaites pour vous accompagner lors de vos raclettes party !

 

L’astuce gourmande

 

Pour plus de gourmandise, on ajoute un œuf de caille sur le fromage en fin de cuisson ou alors on le cuit en œuf au plat sur la plancha. Un délice !

 

 

*L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.

L’incontournable du dessert, la crêpe

 

Avec la crêpière Multiplug, transformez le dessert en un moment de partage ou chacun peut laisser parler sa créativité ! Raccordez les crêpières entre elles, tout le monde peut maintenant préparer sa propre recette de crêpe favorite : au chocolat, à la chantilly, au sucre, au beurre, au miel…

 

Les accompagnements

 

Pensez aussi aux noisettes concassées, aux guimauves chocolatées ou même aux pâtes à crêpes personnalisées. Il existe même des recettes de pâte à crêpes sans gluten pour régaler toutes les papilles !

Pour une pâte à crêpe 100% réussie, découvrez nos astuces pour une pâte sans grumeaux !

 

La boisson

 

Pour une touche douceur, on peut se réconforter en fin de repas avec un délicieux chocolat chaud maison. Il y en a pour tous les goûts: avec du lait d’amande fait maison grâce à notre astuce, ou bien, avec du chocolat noir pour les plus gourmands. Ajoutez quelques guimauves… Un régal !

 

L’astuce gourmande

 

Réalisez une base de pâte à crêpes neutre pour pouvoir faire des crêpes sucrées et salées. À garnir à volonté !

 

Pour toutes vos préparations :

raclette Multiplug

Raclette Essentielb Multiplug System Rouge

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plancha multiplug

Table Plancha électrique Essentielb Multiplug System 2en1 plancha-crêpière

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Les bonnes idées de l’électroménager connecté

Les bonnes idées de l’électroménager connecté

Se transformer en chef en trois clics, ne plus rien oublier grâce au frigo, ou discuter avec sa table de cuisson ? Vous ne rêvez pas, tout existe déjà. Bienvenue dans le monde magique de l’électroménager connecté, ou quand la technologie se met au service de l’électroménager en cuisine !

 

Devenir un chef sans faire un four

 

Les robots cuiseurs connectés, vous connaissez. La dernière nouveauté cuisine ? Les fours connectés !

 

Le principe

Comme toujours, à chaque appareil sa spécialité… avec un point commun : une connexion internet qui permet à votre four de communiquer. Au minimum, vous pourrez contrôler votre four depuis une application smartphone sans vous déplacer ! Inutile de mettre votre film en pause, quelques gestes suffisent à lancer le préchauffage du four en sélectionnant directement le mode de cuisson, la température et la durée… Une notification vous informe quand il est temps d’enfourner le gratin, une autre vous avertit en fin de cuisson. La recette demande une baisse de température en milieu de cuisson ? Pas question de quitter la conversation pour rejoindre la cuisine, l’application s’occupe de tout.

 

Les +

Certains fours connectés vont encore plus loin en optimisant les paramètres de cuisson en fonction de la recette : depuis l’appli, sélectionnez l’option gratin, gâteau, pain ou pizza. Les réglages sont automatiquement ajustés, il ne vous reste qu’à enfourner.

 

Pourquoi on l’aime

Parce que les viandes grillées et les gâteaux pas cuits appartiennent au passé ! Les programmes automatiques réduisent les risques, la surveillance à distance évite les drames, et le contrôle sur smartphone rattrape tous les oublis. Chef étoilé, c’est parfois simple comme un four.

En finir avec le casse-tête des courses

 

Votre frigo peut faire bien mieux que garder des yaourts au frais. Avec un réfrigérateur connecté, toute la gestion du quotidien gagne en simplicité !

 

Le principe

Comme son cousin le four, le frigo connecté dispose d’une connexion à internet pour communiquer. Or il ne s’agit pas, cette fois, de l’allumer ou de l’éteindre, mais de savoir ce qu’il contient ! Équipé de caméras, l’intérieur du réfrigérateur peut vous révéler son contenu où que vous soyez via l’application dédiée, même au supermarché. Terminées les plaquettes de beurre en triple et les crèmes dessert en double !

 

Les +

Communiquer avec vous, d’accord, mais pourquoi votre table de cuisson ne communiquerait-elle pas avec la hotte qui la surmonte ? Choisissez des modèles compatibles : la table de cuisson allumera puis éteindra elle-même la hotte !

 

Pourquoi on les aime

Parce qu’elles comblent à la fois les amateurs du moindre effort, les accros à la simplicité, les angoissés des appareils électriques et les amoureux des objets connectés… tout en créant un véritable écosystème connecté pour la cuisine !

 

Quand la hotte et la table de cuisson communiquent…

 

Chaud dans la cuisine, hottes et tables de cuisson connectées s’unissent pour vous simplifier la vie. Et la cuisine !

 

 

Le principe

Grâce à leur connexion internet, les tables de cuisson et hottes connectées peuvent être pilotées à distance par une application. Vous avez lancé la cuisson du chili sans allumer la hotte ? Ne vous relevez pas, demandez à votre tablette. Le minuteur sonne, mais l’apéritif n’est pas fini ? Éteignez la table de cuisson le temps de finir votre verre. Déjà en voiture, vous doutez d’avoir bien éteint les plaques ? Vérifiez sur votre smartphone ! Votre hotte vous avertira même quand elle aura besoin de nouveaux filtres…

 

Les +

Communiquer avec vous, d’accord, mais pourquoi votre table de cuisson ne communiquerait-elle pas avec la hotte qui la surmonte ? Choisissez des modèles compatibles : la table de cuisson allumera puis éteindra elle-même la hotte !

 

Pourquoi on les aime

Parce qu’elles comblent à la fois les amateurs du moindre effort, les accros à la simplicité, les angoissés des appareils électriques et les amoureux des objets connectés… tout en créant un véritable écosystème connecté pour la cuisine !

Pour toutes vos préparations :

Frigo Samsung

Réfrigérateur multi portes Samsung RF56M9540SR Family Hub

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frigo Siemens

réfrigérateur combiné connecté Siemens KG56NHX3P

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Le trash cooking zéro déchet

Le trash cooking zéro déchet

Les flans sont déjà prêts, le bœuf mijote avec les carottes, le clafoutis dore au four… et la poubelle déborde ? Vive le trash cooking ! La dernière tendance antigaspi recycle restes, déchets et rebuts pour une cuisine écologique, économique et gourmande. Et si on arrêtait de jeter ?

 

Le trash cooking, ou comment cuisiner malin

 

Né à Copenhague, le trash cooking signifie littéralement « cuisine poubelle ». Et si le terme n’est pas vendeur, il est pourtant malin : cuisiner les déchets et les rejetés invendus des étals de marché pour jeter moins, dépenser moins, produire plus et manger mieux.

 

1/ Oubliez les normes

Ne vous fiez pas aux dogmes, zappez les habitudes. Le trash cooking ne vous empêche en rien de cuisiner vos recettes favorites, mais il change radicalement le rapport aux restes qui en résultent : une fois le poulet terminé, on utilise la carcasse au lieu de la jeter.

 

2/ Faites l’inventaire

Pas question d’aller faire le marché pour cuisiner. En version trash cooking, vous cuisinez en fonction de ce que vous avez plutôt que de faire les courses avant que le frigo soit vide !

 

3/ Changez les basiques

Le trash cooking est une cuisine égalitaire qui met dans le même panier les fruits et légumes moches, trop mûrs ou abîmés. Sous réserve de précautions sanitaires (la viande avariée, c’est non), presque tout est transformable, des peaux de poissons aux carcasses de poulet.

 

Les bons mots du trash cooking

Un produit est un tout, considérez chaque partie. Non, une carotte n’est pas que sa « chair » : elle compte aussi de la peau et des fanes (les feuilles), et chacune se cuisine ou s’utilise. Fanes, côtes, épluchures, noyaux, pépins, trognons, carcasses, os… Changez de vocabulaire, et partez à l’aventure !

Place à la pratique en cuisine…

 

Vous avez du mal à visualiser les résultats du trash cooking ? On vous comprend : la preuve en idées.

 

– Le pain dur et rassis ? Parfait en pain perdu ou en pudding, en chapelure ou en croûtons. Et pourquoi pas sur un crumble joliment doré au four

 

– La carcasse du poulet, les os de la viande ou les arêtes de poisson ? Une marmite, de l’eau, quelques pelures de légumes, et à vous le bouillon maison.

 

– Les épluchures de légumes ? Huilées, assaisonnées et passées à la friteuse, elles se croquent en chips à l’apéro, ou transforment une salade en version tempura… quand elles ne finissent pas dans le bouillon.

 

– Les vieux légumes ? Cuits et passés au mixeur, ils sont divins en soupe avec des croûtons, ou en purée avec des épluchures croustillantes !

 

– Des fanes prêtes à jeter ? Radis, carottes ou même restes de poireaux se mixent en pesto, velouté ou gaspacho.

 

– Des fruits franchement gâtés ? Un régal en compote, en smoothie au blender, ou même en jus avec un bon extracteur !

… Mais pas que!

 

Le trash cooking est une philosophie qui se mange… et se vit ! À défaut de cuisine, d’autres solutions antigaspi existent.

 

 

Compostez

Rien de plus simple qu’un compost maison, avec ou sans jardin, en maison comme en appartement, pour recycler épluchures ou arêtes. Vous obtiendrez un engrais de rêve pour vos plantes d’intérieur, plates-bandes et jardinières.

 

Replantez

Et si vous offriez une seconde vie à des graines esseulées ? Faites sécher pépins et graines de fruits ou de légumes : vous pourrez les replanter et repeupler le potager. Avec un minimum de patience.

 

Le truc en plus

Les noyaux de cerises garnissent des coussins, ou remplacent les billes d’argile ; les graines séchées nourrissent aussi les oiseaux ; les écorces d’orange parfument un pot-pourri, ou servent d’allume-feu… Quel que soit le déchet alimentaire, cherchez : sur Internet, vous trouverez une idée pour éviter de gâcher !

Pour toutes vos préparations :

autocuiseur SEB

Autocuiseur SEB Clipso Minut’Perfect 9L+

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friteuse sans huile SEB

Friteuse SEB Actifry Genius XL 2 en 1 YV970800

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Une soirée d’Halloween terriblement organisée

Une soirée d’Halloween terriblement organisée

On y est, la soirée la plus terrifiante de l’année est arrivée. Oubliez les règles, et mettez les bonbons au menu : cette année, les invités seront gâtés… de frayeurs ! Trucs, astuces et idées, on vous dit tout pour organiser la fête d’Halloween la plus bluffante du quartier.

 

Une décoration au top pour en mettre plein la vue

 

Halloween, c’est l’atmosphère… et un principe de base : le temps d’une soirée, le kitsch n’existe plus, vous n’en ferez jamais trop. Pour marquer les esprits, créez une décoration qui donne des frissons !

 

La danse des citrouilles

Pas de soirée d’Halloween sans sa citrouille sculptée. Chez nous, vous trouverez plus facilement du potiron, mais le principe est le même : coupez le chapeau, évidez la chair à la cuillère, puis dessinez un visage, et sculptez-le au couteau avant de placer une bougie au cœur du légume. Attention les doigts, seul le faux sang est admis.

 

Une ambiance d’outre-tombe

Pour une ambiance franchement inquiétante, inutile d’en faire des tonnes… Laissez dépasser le bout d’une paire de chaussures sous les meubles, semez les faux insectes sur les tables, et glissez des yeux en plastique dans les vases ou les vide-poches. Ajoutez de fausses toiles d’araignées un peu partout, éteignez les lumières, puis multipliez les bougies… avec une préférence pour les bougies à LED pour plus de sécurité. Candélabres et bougeoirs sont les bienvenus, la BO d’Harry Potter, de La famille Adams ou de Ghostbusters aussi !

 

 

Le cas du costume

Non. Vous ne pourrez pas organiser de soirée d’Halloween digne de ce nom sans costumes, l’essence même de la fête résidant dans le déguisement. Précisez-le sur les invitations et surtout, contrecarrez les plans des mauvais joueurs : prévoyez dans l’entrée un miroir, du maquillage et un coffre rempli de chapeaux de sorcières, capes de vampires, litres de faux sang et bandelettes de momie. Les petits malins « étourdis » n’auront plus d’excuses.

 

 

Le saviez-vous ?

Les courges appartiennent à la famille des cucurbitacées et comptent dans leurs rangs les citrouilles, potirons, potimarrons, butternut, pâtissons… ainsi que les courgettes, appelées courges d’été. Les concombres, melons ou pastèques appartiennent également à la famille des cucurbitacées, mais proviennent d’une sous-famille différente. Melon et potiron sont donc cousins !

Mettez les invités au défi de manger…

 

Une décoration d’Halloween réussie passe par la table, et faire pâlir les gourmands d’effroi n’a rien de compliqué !

 

Une horrible décoration

Faites frémir les invités avec des biscuits « doigts de sorcière », des meringues « fantômes », des feuilletés « momies », des boulettes « yeux »… Encore mieux, utilisez les doigts de sorcière en porte-couteaux, piquez les yeux sur les fourchettes à côté des assiettes, et semez les fantômes sur la nappe !

 

 

D’affreuses boissons

Faciles à préparer, les boissons d’Halloween font toujours de l’effet. Jus de pamplemousse ou de fruits rouges, Bloody Mary ou cocktail au charbon… Le truc en plus ? Congelez insectes ou yeux en plastique dans des bacs à glaçons avec de l’eau, avant de les glisser dans les verres. Et pour les plus téméraires, remplacez les touillettes par des seringues en plastique. N’hésitez pas à exposer vos cocktails effrayants dans de jolies fontaines à cocktails

…avec une cuisson festive pour une soirée originale !

 

Comment organiser une soirée terrifiante, certes, mais conviviale ? Avec la cuisson festive, bien sûr, et ses recettes aussi régressives que gourmandes !

 

Pour le repas

Un appareil à hot-dog et beaucoup de ketchup pour un sandwich sanglant ? Une crêpes party avec de la pâte à crêpes rouge sang ? Osez l’originalité pour une ambiance d’enfer avec de la soupe en coque de potiron… et si vous ne rêvez que de pasta, choisissez-les noires à l’encre de seiche.

 

Pour le dessert

Comptez sur un robot pâtissier et un bon four pour aligner cupcakes, muffins, cookies, gaufres et autres merveilles sucrées… à décorer d’insectes et de fantômes, d’yeux et de dents, de confiture rouge ou de glaçage noir !

 

Et le film ?

Vous terminez la soirée par une séance cinéma à base de morts-vivants et d’esprits vengeurs ? Prévoyez un appareil à barbe à papa pour remonter le moral des invités terrifiés avec d’irrésistibles fantômes géants. Ou terrifiez-les encore plus avec des gants en latex remplis de maïs soufflé sorti d’une fabrique à pop-corn !

 

La bonne idée

La purée de courge peut facilement remplacer les pommes de terre dans un hachis parmentier, des croquettes de purée ou une brandade de poisson. Naturellement sucrée, elle peut même alléger de nombreuses recettes de dessert, depuis les muffins jusqu’aux brownies !

Pour toutes vos préparations :

popcorn

Machine pop-corn SIMEO family pop FC 150

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fontaine

Fontaine ESSENTIELB à cocktail 8L

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La courge dans tous ses états !

La courge dans tous ses états !

L’automne s’installe ? Chic, la courge aussi ! Longue ou ronde, joliment jaune ou joyeusement rouge, la star de la saison redouble d’idées pour enjoliver les recettes. Cuisine plaisir, cuisine ludique et cuisine gourmande, la belle courge sait tout faire !

La courge en gratin pour les plus gourmands

 

Le principe : des dés de courge au fond d’un plat à gratin, du sel, du poivre, des épices et aromates puis une cuisson au four.

 

Les déclinaisons : pour la version légère, arrosez simplement d’huile d’olive, saupoudrez d’un nuage de parmesan puis enfournez. Pour une option réconfortante, arrosez de crème puis couvrez de fromage fondant, du gruyère au Saint-Nectaire. Plus original ? Osez la version crumble !

 

Les astuces : ajoutez des dés de saumon, des lardons, du riz ou des lentilles pour un plat complet. Alternez ou mélangez les variétés, de la courge spaghetti au potiron… Quant à mitonner un gratin express, laissez faire le robot multifonction , il découpera votre courge comme personne !

 

 

Le saviez-vous ?

Les courges appartiennent à la famille des cucurbitacées et comptent dans leurs rangs les citrouilles, potirons, potimarrons, butternut, pâtissons… ainsi que les courgettes, appelées courges d’été. Les concombres, melons ou pastèques appartiennent également à la famille des cucurbitacées, mais proviennent d’une sous-famille différente. Melon et potiron sont donc cousins !

La courge farcie, on dit oui !

 

Le principe : une courge évidée puis remplie, cuite et gratinée au four, comme pour des tomates farcies en version ronde, comme pour des courgettes farcies en version longue.

 

Les déclinaisons : pour une version vite faite, remplissez une courge butternut de fromage et de quinoa. Pour un plat familial, remplissez un potiron de risotto cuisiné avec la chair évidée et quelques champignons d’automne… Quant aux petits pâtissons, remplissez-les d’une vraie farce à la viande !

 

Les astuces : avec une courge généreuse réclamant une cuisson longue, comme un potiron, faites cuire la garniture séparément pendant que la courge évidée rôtit en douceur au four. Remplissez ensuite et gratinez quelques minutes : vous éviterez tout risque de sur-cuisson.

En purée pour faire plaisir aux plus petits

 

Le principe : des dés de courge cuits à l’autocuiseur et écrasés pour former une purée fondante.

 

Les déclinaisons : pour une purée 100% automnale, mélangez la courge avec du panais ! Les gourmands sont grands ? Ajoutez du lait de coco et du curry. Vous cuisinez pour des enfants ? Incorporez une portion de fromage fondu (type Vache qui rit®) et couronnez de coquillettes !

 

Les astuces : liez avec un filet de crème pour le moelleux, de l’huile de noisette pour renforcer la saveur, des dés de beurre pour la tradition. Incorporez des éclats de noix, des lardons ou oignons grillés pour le croquant. Le truc en plus ? Congelez la purée pour l’utiliser une prochaine fois !

 

La bonne idée

La purée de courge peut facilement remplacer les pommes de terre dans un hachis parmentier, des croquettes de purée ou une brandade de poisson. Naturellement sucrée, elle peut même alléger de nombreuses recettes de dessert, depuis les muffins jusqu’aux brownies !

Une salade d’automne pour une touche d’été dans l’assiette

 

Le principe : des dés de courge rôtis au four et glissés dans des salades composées automnales chaudes, tièdes ou froides.

 

Les déclinaisons : pour une version de saison, mariez les dés de courge aux champignons, aux noix, ou aux châtaignes. Plus étonnant ? La courge adore les mélanges sucrés-salés. Mélangez-la à des dés de betterave et de poire, des raisins secs ou des figues, relevés par du chèvre ou du fromage persillé.

 

Les astuces : la saveur de noisette de la courge ressort avec des vinaigrettes à l’huile de noix, de vraies noisettes concassées ou du quinoa. Dans tous les cas, préférez des variétés de courge assez fermes pour garder de la tenue. La reine des courges en salade ? Le butternut !

 

Les astuces : avec une courge généreuse réclamant une cuisson longue, comme un potiron, faites cuire la garniture séparément pendant que la courge évidée rôtit en douceur au four. Remplissez ensuite et gratinez quelques minutes : vous éviterez tout risque de sur-cuisson.

Pour toutes vos préparations :

samsung

Four encastrable SAMSUNG dual cool flex NV75B567BS

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kenwood

ROBOT multifonction KENWOOD robot multipro compact FDM307SS

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On mange quoi en octobre ?

On mange quoi en octobre ?

Non, l’automne n’est pas que vent, froid, rhumes et grisaille. Il faut aussi compter avec les arbres rougeoyants, les promenades en forêt, les citrouilles découpées ou les soirées cocooning… et une ribambelle de fruits et de légumes frais qui nous ont franchement manqué durant l’été !

Les fruits et légumes d’octobre dans le panier

 

Vous filez au marché ? En octobre, vous glisserez dans votre panier…

 

Des courges

La courge est la championne de l’automne. Et dans la famille des courges, les variétés gourmandes se bousculent, du potiron au potimarron en passant par l’incontournable courge Butternut ! À décliner à volonté en purée, rôtie, farcie ou même en sauce.

 

Des poires

Les poires font leur retour pour le plus grand plaisir des amateurs, puisque personne ne résiste à ces fruits juteux et sucrés, aussi divins en tartes qu’en compotes. La bonne astuce ? Pochez-les au vin ou émincez-les en salade de fruits avec du raisin.

 

Des coings et des figues

À la première baisse de moral automnale, le coing et la figue d’octobre offrent un apport énergétique immédiat… et gourmand. Un conseil, testez les energy balls, ces billes énergétiques mariant fruits et oléagineux !

 

Les fruits et légumes d’octobre en cuisine

 

Octobre, automne, fraîcheur et grisaille ? Dégainez les petits plats réconfortants.

 

 

Les mixés

Côté salé, soupes et purées sont aussi faciles à préparer que savoureuses à déguster. Classiques aux pommes de terre, colorées au potiron, légères au chou-fleur ? Pour plus de moelleux, ajoutez quelques noisettes de beurre, de purée d’oléagineux ou de fromage fondu, petits et grands adorent. Côté sucré, place aux compotes de pommes, gelées de myrtilles ou confitures de coings !

Le saviez-vous ?

La confiture de coings sublime parfaitement le foie gras et bien préparée, se conserve sans mal jusqu’à Noël. Profitez de l’automne pour refaire les stocks !

 

 

Les mijotés

On n’a pas trouvé mieux à l’heure automnale qu’un doux mijoté embaumant la maison. Curry, blanquette, bourguignon, dahl… Sélectionnez une viande, un poisson ou un substitut, ajoutez des légumes, couvrez de liquide et laissez mijoter. En version sucrée, testez plutôt les poires pochées…

 

Les mélangés

Trop froid pour une salade classique ? Revisitez la recette en chaud-froid avec des légumes rôtis ou des viandes et poissons cuits ! Une astuce qui fonctionne même en sucré avec des fruits poêlés. Deuxième option, jouez le réconfort sucré-salé mariant fromage et fruits… Quant aux frileux, pas de panique, remplacez la salade par une poêlée bien chaude.

 

Les fondants

Pour remonter le moral par temps gris, faites confiance aux petits plats fondants et aux desserts moelleux. Un supplément de tendresse qui se décline en gratins de pommes de terre, lasagnes aux épinards, pâtissons farcis, quiches au brocoli… dans tous les cas, avec une bonne dose de fromage ! Quant au dessert, fondez pour des carrot cakes, muffins aux myrtilles, moelleux à la pomme ou brownies aux noix…

 

 

Une courge touche-à-tout

On l’adore pour sa douce saveur sucrée en plats salés, mais saviez-vous que la courge est tout aussi divine en desserts franchement sucrés ? Au moindre doute, enfournez une tarte sucrée cannelle et potiron, fouettez un mug cake courge et chocolat ou craquez pour un gâteau vanille et butternut !

Les fruits et légumes d’automne en soupe

 

En été, on rêve de salades. En hiver, place aux potages !.

 

 

Quels légumes pour la soupe ?

Les légumes favoris des soupes d’octobre ? Les courges et les pommes de terre pour la douceur, les champignons, le chou-fleur et les poireaux pour les saveurs d’automne. Ou les marrons pour l’originalité !

 

Comment cuisiner les soupes facilement ?

Avec un Soupemaker ! Derrière ce drôle de nom se cachent des robots de cuisine malins qui cuisent, mélangent et mixent. Donnez-leur des morceaux, ils en font une soupe divine sans intervention de votre part et peuvent même la garder au chaud jusqu’au repas.

 

Quelles astuces pour ma soupe ?

Ajoutez du moelleux avec de la tomme ou des portions de fromage fondu type Kiri®. Pour un plat complet, incorporez des lentilles dans les ingrédients ou des pâtes en fin de cuisson. Quant à une recette plus gourmande, accompagnez de croûtons croquants, pain toasté, oignons grillés ou noix et noisettes concassées !

 

Potage, soupe ou velouté ?

Dans potage, il y a pot : le terme hérité du 17e siècle signifie « cuit dans un pot ». Il désigne toutes les recettes liquides servies chaudes, du bouillon à la soupe en passant par le velouté. La soupe est donc un potage, obtenu en mixant légumes et eau de cuisson. Le velouté, lui, est un potage finement mixé et lié à la crème, particulièrement onctueux !

Pour toutes vos préparations :

soupe

Blender chauffant ESSENTIELB ESM1 Sambal

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miogook

ROBOT CUISEUR MIOGO MAESTRO ROUGE

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Ces accessoires qui font aimer le vin !

Ces accessoires qui font aimer le vin !

Compliqué, le vin* ? Pas quand la tech s’y colle ! Pour faciliter la dégustation, le service ou les accords des vins, la technologie s’investit dans l’œnologie. Focus sur trois accessoires malins qui simplifient le vin !

 

Rouge ou blanc, plus question de choisir avec Coravin

 

Le problème

Certains aiment le blanc, d’autres le rosé, d’autres ne jurent que par le rouge… et l’entrée exigerait un blanc tandis que le plat ne supportera que le rouge. Et que faire du reste de la bouteille ouverte pour un simple verre à l’entrée ? Si ces problématiques vous sont familières, vous savez déjà que la majorité finit généralement par l’emporter… et l’entrée par changer ou les amateurs de rosé par accepter du vin blanc.

 

La solution

Imaginez servir un vin sans ouvrir la bouteille… avec Coravin, plus besoin d’ouvrir pour déguster ! Sa fine aiguille perce le bouchon de liège avant d’injecter de l’argon, un gaz neutre empêchant le vin de s’oxyder. Il ne vous reste qu’à servir un verre, ou deux, ou trois… d’une bouteille puis d’une autre, selon la demande ou les envies de vos convives, sans jamais vous inquiéter de gaspiller. Un bar à vin à la maison, une dégustation façon pro, un verre pour chaque plat ? Facile !

 

Le + : le gaz permet un scellement parfait de la bouteille sans altérer le goût du vin. Multipliez les dégustations pour affiner votre palais, les vins sont préservés pour des mois, voire des années !

Un sommelier dans la poche grâce à my Oeno

 

Le problème

Toutes les amatrices et tous les amateurs savent à quel point l’œnologie est un domaine pointu, nécessitant une belle dose de savoir et de connaissances. Cépages, tanins, vivacité, puissance… Pas toujours facile de s’y retrouver, encore moins de se souvenir, même pour un amateur éclairé. Quant à choisir le bon vin, l’exercice relève parfois du défi…

 

La solution

My Oeno est un scanner de vin, rien de moins. Un scanner en forme de marqueur qu’il vous suffit de plonger dans le liquide pour obtenir toutes les caractéristiques du vin directement sur l’application dédiée. Mieux, il répertorie et classe vos scans pour vous permettre de leur attribuer une note ou de les retrouver simplement. Chez des amis, à la maison ou durant une foire aux vins, l’application enregistre vos préférences selon les notes attribuées. Puis établit le diagramme de vos styles favoris de vins afin de vous conseiller de nouvelles dégustations !

 

Le + : l’application vous conseille au passage sur le bon plat avec lequel servir votre vin ou sur la meilleure façon de conserver la bouteille… avant de partager vos découvertes en quelques clics !

 

 

*L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération.

Pour toutes vos préparations :

my oeno

Scanner de vin MY OENO

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coravin

Systèm de vin au verre CORAVIN

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Une affaire de goûts !

Une affaire de goûts !

Il ne suffit pas toujours de réconcilier les enfants et les légumes. Parfois la tâche est plus ardue et c’est en fait le goût de nos têtes blondes qu’il faut éduquer. En effet, les plats, confiseries et pâtisseries industriels ont vite fait de désorienter le goût de nos petits. Une étude de l’ASEF* réalisée en 2013 avait d’ailleurs révélé que ¼ des enfants ignorent que les frites sont en réalité faites à base de pommes de terre !

 

Mange, Lille ! à travers notamment son action « Un chef au restaurant scolaire » entend bien réveiller les papilles des enfants, même les plus récalcitrants !

 

*Association Santé Environnement France

 

 

Mange, Lille ! Qu’est ce que c’est ?

 

Mange, Lille ! c’est avant tout un collectif composé de chefs, de producteurs et d’artisans animés par l’envie de mettre en avant la gastronomie de leur terroir en privilégiant les produits locaux, respectueux du sol et de la biodiversité. Mais attention, pas question pour eux de se laisser enfermer dans une image clichée de la cuisine de terroir !

 

Et, la preuve de cette volonté de faire rayonner le dynamisme culinaire de Lille et des Hauts-de-France est sans aucun doute le festival Mange, Lille ! La troisième édition de ce rendez-vous festif, culturel et grand public se déroule du 17 au 23 septembre 2018.

Quelles actions auprès des petits ?

 

Les enfants ne sont pas oubliés dans la programmation du festival. Bien au contraire, ils y occupent une place de choix. L’objectif : affiner leur goût, leur culture culinaire et leur donner les bons réflexes alimentaires. Les enfants expérimentent les saveurs avec curiosité et gourmandise à travers 2 événements. Le premier est un Mini Restaurant dédié et le second s’invite dans leurs cantines scolaires.

 

Et voilà comment la gastronomie s’invite à l’école. Pendant une semaine, les produits locaux sont mis à l’honneur dans des recettes originales et gourmandes concoctées par les chefs Nicolas Rucheton, Mickaël Braure, Antonin Maresciano, Nicolas Gautier, Éric Delerue et avec la participation des agents de la Cuisine Centrale de la Ville de Lille.

Le chef Nicolas Gautier nous éclaire !

 

Le chef Nicolas Gautier du restaurant Nature à Armentières nous livre ses conseils pour éveiller les papilles des petits.

 

Pour le chef, il est important d’éduquer le goût des enfants dès leur plus jeune âge. Membre du collectif Mange, Lille ! depuis 3 ans, il participe à l’élaboration des menus pour « Un chef au restaurant scolaire » et sera le chef d’orchestre du Mini Restaurant le samedi 22 septembre à la gare Saint-Sauveur. Mais son action auprès de nos têtes blondes ne s’arrête pas là. Au-delà d’éduquer le goût des plus petits, pour lui, c’est parfois les parents qu’il faut rééduquer. Le chef nous livre ses conseils.

 

Quel était votre objectif en participant à « Un chef au restaurant scolaire » ?

 

Depuis quelque temps, on remarque de vrais efforts de la part des cantines scolaires. Avec « Un chef au restaurant scolaire », le but n’est plus d’améliorer la cuisine à l’école, mais plutôt de réconcilier les enfants avec certains aliments qu’ils n’ont pas l’habitude d’aimer.

Lorsque nous avons testé les recettes élaborées avec les chefs dans la Cuisine Centrale, nous avons d’ailleurs été bluffés par le résultat. Les plats étaient cuisinés exactement comme nous l’aurions fait dans nos cuisines, la quantité en plus !

Quel menu avez-vous concocté cette semaine ?

 

Avec mes collègues, nous avons chacun réalisé un menu (entrée et plat). En entrée, j’ai choisi de proposer aux enfants un aliment qui ne fait pas l’unanimité chez eux, le céleri ! Et pour le plat, nous avions la volonté de proposer un plat sans viande.

 

En entrée, les enfants pourront goûter du céleri râpé à la mayonnaise spéculoos et noix.

Le but de cette entrée est d’associer un aliment qui ne plait pas spontanément aux enfants à des aliments qu’ils aiment et mangent facilement. A priori, dans cette recette c’est le spéculoos qui va les attirer et les interpeller. En réalité le spéculoos concassé mélangé à la mayonnaise occupe un rôle secondaire, il est ajouté à la fin pour donner une texture et une couleur différente en apportant une note légèrement sucrée. En gros, le spéculoos est utilisé comme appât pour que les enfants apprennent à aimer le céleri.

 

Et pour le plat, j’ai choisi de détourner une recette bien connue, le cassoulet, en leur proposant un Soissoulet. Il s’agit en fait d’un cassoulet fait avec des haricots de Soissons. L’idée est de le cuisiner comme un véritable cassoulet en y intégrant les haricots, les carottes, le lard… Une fois le plat bien mijoté on retire la viande pour ne garder que les légumes et les arômes du jus de cuisson.

Quels conseils donneriez-vous aux parents qui n’arrivent pas à faire goûter certains aliments ou à faire aimer les légumes à leurs enfants ?

 

Je remarque dans mon restaurant que souvent, ce sont les parents qui se mettent des limites.

Certains parents m’annoncent d’emblée que leur enfant est « difficile » et me demandent donc un plat adapté. Au contraire, il faut que les enfants goûtent à tout dès le plus jeune âge. C’est à ce moment-là qu’ils se créent leur « bibliothèque de goûts » et les souvenirs qui seront associés à certaines saveurs. Mon premier conseil est donc de ne pas les freiner s’ils ont envie de goûter, même s’il s’agit d’un plat relevé ou de moutarde, par exemple.

 

Je pense également que le meilleur moyen de donner envie aux enfants de goûter, c’est de cuisiner autrement. Souvent, les premières betteraves que les enfants goûtent sont celles de la cantine. Des betteraves sous vide découpées en cubes, pas étonnant qu’elles ne soient pas le légume préféré des petits. Pour les aider à changer leur opinion vis-à-vis des betteraves, pourquoi ne pas leur en proposer sous la forme de chips ? Je les transforme aussi en ketchup pour accompagner un burger maison, un vrai régal !

 

On peut faire pareil avec tous les aliments que nos bambins disent ne pas aimer. Je fais par exemple du risotto avec du céleri. La plupart du temps, les enfants ne s’en rendent même pas compte. Ils sont les premiers étonnés d’apprendre qu’ils peuvent aimer le céleri.

 

Mais, pour moi ce qui est le plus important, c’est d’éduquer les papilles des plus petits en misant sur des produits de qualité. Et pour ça, il faut respecter les saisons. Rien de mieux qu’une tomate gorgée de soleil ou qu’une fraise naturellement sucrée pour réconcilier les enfants avec les fruits et les légumes !

Vous avez participé à l’événement l’année dernière, quelle est la réaction des enfants ?

Est-ce qu’ils sont réticents ou au contraire volontaires ?

 

Il faut bien l’avouer, c’est pas gagner à chaque fois. Leur réaction dépend surtout de leur âge, mais je dirai que c’est 50/50. Il y a autant de curieux volontaires prêts à goûter que de sceptiques qui font la grimace devant leur assiette. Le public le plus facile reste sans aucun doute la maternelle.

 

On remarque aussi lorsqu’on se déplace dans les cantines avec les autres chefs que notre présence à un impact sur les élèves plus réticents à goûter certains plats.

 

À vous de jouer !

Pour toutes vos préparations, pensez aux…

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Les fours encastrables

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Les découpe-légumes

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Comment réconcilier les enfants et les légumes ?

Comment réconcilier les enfants et les légumes ?

On ne peut pas dire que les légumes soient les aliments préférés des enfants. Avouons-le, c’est même la soupe à la grimace à chaque fois que vous leur présentez brocolis, carottes ou céleris. Mais comment faire enfin rimer légumes et plaisir ? La méthode : intégrer les légumes progressivement dans leur assiette et faire preuve d’un peu de créativité culinaire. Pas de panique, nos petites astuces sont à la portée de tous les parents gourmands !

 

On cache les légumes dans nos recettes fétiches

 

Avec les enfants, il faut parfois être stratège et disséminer les légumes un peu partout dans vos recettes pour parvenir à les faire passer ni vus ni connus dans leurs assiettes. Certaines recettes sont d’ailleurs passées maitres dans l’art du camouflage spécial légumes !

 

La clé du succès c’est avant tout de bien choisir son légume. En effet, certains légumes comme les courgettes, les carottes ou les courges sont plus faciles à aimer. Il faut ensuite choisir la bonne recette ou le bon aliment à lui associer. L’idéal c’est de dissimuler le légume dans un plat que junior adore ou de l’associer à son aliment préféré.

 

Les recettes fétiches pour jouer à cache-cache légumes sont par exemple la purée pommes de terre et céleris, le gratin de pâtes et courgettes, la quiche aux petits légumes ou encore le cake salé aux lardons, fromage et brocolis. Créez des crumbles de légumes pour brouiller les pistes, en saupoudrant ces derniers d’un mélange de chapelure et parmesan avant de passer le tout au four. Misez également sur les condiments pour varier les saveurs et réveiller les goûts (épices, herbes…) !

 

Découvrez notre recette de quiche aux épinards et chèvre

On transforme les légumes !

 

Une autre technique efficace pour réussir à intégrer les légumes progressivement dans l’alimentation de votre enfant consiste à les « déguiser ». On leur donne la forme d’un aliment qu’ils aiment ou on leur donne une forme rigolote. Le but : donner envie à votre enfant de dévorer son assiette jusqu’à la dernière miette !

 

Grâce au découpe-légumes on fait par exemple des tagliatelles de courgettes ou de carottes. On peut également râper ou trancher finement des pommes de terre, des poivrons et des courgettes pour en faire des nuggets de légumes. On donne aux légumes de jolies formes d’étoiles ou de cœur avec des emporte-pièce. Voilà de quoi égayer nos poêlées de légumes.

 

Rien n’y fait, votre enfant refuse toujours d’entendre parler de légumes et ne jure que par les pizzas et les hamburgers ? N’abandonnez pas ! Proposez-lui par exemple une pizza aubergines et champignons, dissimulés sous un peu de mozzarella. Ajoutez progressivement quelques rondelles de tomates ou une compotée de poivrons dans son hamburger favori. Accompagnez son burger de frites de patates douces. Le but est de le familiariser petit à petit à ces nouveaux goûts.

 

Découvrez notre recette de tagliatelles de courgettes

On les fait participer !

 

Avant de passer en cuisine et d’enfiler votre tablier, il ne faut pas oublier une étape indispensable : faire les courses. Et pourquoi ne pas commencer à réconcilier les petits et les légumes dès cette première étape ? On emmène nos bouts de chou avec nous et on part à la découverte des aliments qui se retrouveront plus tard dans leur assiette. Pour leur donner envie de participer, on les laisse choisir les aliments et les légumes qu’ils veulent goûter.

 

Une fois de retour à la maison, faites-leur une place en cuisine. Les enfants participent à la réalisation des recettes, nous aident à écraser la purée, à mélanger les ingrédients pour les cakes salés… Plus nos petits cuistots en herbe mettent la main à la pâte, plus ils auront envie de goûter à leur préparation !

 

On n’oublie pas non plus de soigner la présentation. Rien de moins appétissant qu’une assiette pas très jolie à regarder. Bonhomme souriant, monstre ou petit ourson… Donnez aux assiettes de vos bambins des allures amusantes. Après tout, on mange aussi avec les yeux ! 🙂

 

Et vous, quelles sont vos astuces ?

Pour toutes vos préparations :

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Coupe légumes et mandolines

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Four encastrable

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On craque pour le batch cooking

On craque pour le batch cooking !

Moins de stress, moins de corvées, plus de temps pour profiter… Vous en rêvez ? Entrez dans l’univers du batch cooking, l’art de cuisiner grand pour cuisiner moins !

 

Le batch cooking, kézako ?

 

« Batch cooking » signifie « cuisine par lots ». Le principe consiste à cuisiner une seule fois en grande quantité, puis à composer des menus toujours différents avec le résultat les jours suivants. Le tout, sans prise de tête ni perte de temps et avec un budget serré !

1 batch cooking, 3 options

 

1- L’option cuisine en kit: vous cuisinez des bases, par exemple de grandes quantités de céréales, légumes, légumineuses, viandes et poissons avant de les stocker au frigo. Chaque jour, vous piochez une portion de chaque famille pour composer vos plats complets.

2- L’option marathon en cuisine: vous épluchez, émincez et mélangez en une fois pour préparer plusieurs plats XXL. Avec des légumes, du fromage et de la volaille, vous préparez une soupe, un gratin, des lasagnes, une quiche et un crumble à garder au frigo ou à congeler en portions.

3- L’option cuisine en vrac: vous épluchez et émincez, mais sans mélanger, avant de regrouper par boîte ou sachet tous les ingrédients nécessaires à une recette : il ne vous restera qu’à verser un sachet dans la casserole pour une soupe, sur une pâte feuilletée pour une quiche ou dans un plat pour un gratin !

Pourquoi on aime le batch cooking

 

– Il gagne du temps. Les adeptes jurent que si ils peuvent passer quatre heures à cuisiner le dimanche, ils ne consacrent pas plus de 10 minutes à la préparation du repas les soirs de semaine.

– Il gagne de l’argent. Le batch cooking impose de réfléchir en amont à la constitution des menus et d’établir des listes. Une astuce en or pour éviter les achats inutiles à l’heure des courses ! Conséquence directe, il est aussi antigaspi.

– Il est convivial. Tant qu’à cuisiner en gros, pourquoi ne pas cuisiner à plusieurs ? Faire appel à toutes les bonnes volontés extérieures promet un gain de temps et une belle partie de rigolade.

– Il est sain. Puisque choisir le batch cooking revient à cuisiner maison. Adieu fast-food et sucres cachés, bonjour petits plats simples et gourmands, facilement variés et riches en ingrédients frais.

Il est antistress. Terminées, les angoisses de dernière minute devant les enfants affamés ou les amis qui débarquent. Le batch cooking allège le quotidien et donc le moral, en facilitant la préparation de repas équilibrés !

A savoir

Les Américains ne jurent que par le batch cooking et pour le simplifier, congèlent tout, des œufs au pain en passant par le fromage. Certains réussissent ainsi l’exploit de cumuler un mois de repas dans un congélateur XXL !

Place à la pratique !

 

Organisez et planifiez. Sans elle, le batch cooking est voué à l’échec ! Une fois par semaine, déterminez le nombre de repas à prévoir et le nombre de convives. Établissez ensuite les menus de base et la liste de courses qui en découle.

Créez des listes rassemblant vos plats favoris et des idées de recettes à décliner ou combiner avec les ingrédients de la semaine.

Faites participer toute la famille. Transformez la préparation en moment festif avec musique et tabliers, défis et récompenses.

Prévoyez un nombre suffisant de contenants, sachets ou boîtes hermétiques. A chaque portion emballée, notez au marqueur la durée de conservation, qu’il aille au réfrigérateur ou au congélateur !

Optimisez. Si vous faites chauffer le four, mettez à cuire un gratin, dorez de la viande, grillez du chou-fleur… Si vous épluchez des courgettes, épluchez au passage des patates douces. Vous prévoyez du poulet ? Doublez la dose. Vous faites cuire des céréales ? Faites cuire des œufs durs dans la même casserole !

Restez vigilant(e) sur la conservation... Pas plus de trois jours pour les produits frais cuits, quatre pour les œufs durs, cinq pour les céréales cuites. Au moindre doute, congelez avant la fin du délai.

 

 

Les recettes championnes du batch cooking

– Les salades, taboulés et bols complets;

– Les currys, dahls, blanquettes et mijotés ;

– Les pizzas, focaccias, quiches et tartes ;

– Les poêlées de céréales mélangées : riz cantonais, pâtes à la bolognaise, couscous aux légumes…

– Les wraps, enchiladas, burritos, crêpes garnies, légumes farcis ;

– Les omelettes, œufs brouillés ou frittatas ;

– Les cakes, gâteaux et muffins ;

– Les galettes, boulettes, nuggets et croquettes ;

– Les gratins.

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Mise sous vide 

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Congélateur armoire

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